
Une parenthèse salutaire, hors du temps et du quotidien. Un moment essentiel dans la vie et la spiritualité de chacun.
Sur un week-end ou quelques jours. Hors de Singapour, dans la région, dans un cadre de nature magnifique.
Prendre un temps pour soi, pour Dieu, pour se ressourcer, marcher, rencontrer, cheminer, partager, se retrouver, rire, chanter, suivre un enseignement et prier en compagnie d’autres chrétiens.
Accompagné par un aumônier.
À la CCFS, différents pèlerinages sont organisés chaque année.
– LE PÈLERINAGE DES FEMMES :

Ouvert à toutes les femmes de la communauté qu’elles soient célibataire, active, mariée, mère de famille, jeunes, plus âgées…. en communion avec le pèlerinage des mères de famille de France.
Tous les niveaux et toutes les finances sont les bienvenus,
avec des parcours adaptés pour chacun.
La date du rendez-vous de cette année n’a pas encore été communiqué.
Pour toute information concernant le prochain pèlerinage ou pour vous proposer à l’organiation, contactez les organisatrices
Marie-Alix de Castelbajac, Sara Fredaigue et Christine Dubrule
– LE PÈLERINAGE DES HOMMES


Ouvert à tous les hommes de la communauté, qu’ils soient pères, actifs, célibataires, jeune ou plus mûr…. en communion avec le pèlerinage des pères de famille de France. Tous les niveaux et toutes les finances sont les bienvenus,
avec des parcours adaptés pour chacun.
Pour toute information, ou vous proposer à l’organisation du prochain pèlerinage, contactez l’équipe des responsables
Louis-Marie Gallois, Vincent Dubrule, Denis Bonhomme, Emmanuel Bucaille
– LES PÈLERINAGES PLUS PONCTUELS :
Non réguliers, qui sont de l’initiative d’un groupe de la communauté, par exemple le pèlerinage d’été du groupe des jeunes professionnels.
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ELLES TEMOIGNENT
» Les messages sur le groupe WhatsApp « pélé – inscrites » affluent (…) Je me demande bien pourquoi, en ce jeudi soir de mai, je me retrouve à repêcher pulls et chaussettes parmi mes robes de plage pour aller camper sous la tente (plus l’âge!) avec un groupe de 30 (quasi) inconnues, à escalader les volcans de Java (…)
Le lendemain, 6h du matin à Changi airport (…) je prends mon courage à deux mains et rejoins le groupe. Ces femmes, je les croise d’habitude à la messe, affairées et occupées comme moi, et leur offre un sourire gentil (…) Mais là? Elles sont différentes, et je suis différente.
Dès notre cercle de parole sur le sol froid de l’aéroport, dès l’arrivée à Java et ses villages simples et beaux, dès notre arrivée au pied des hauts volcans, je sais, nous savons toutes, que cette bienveillance, cette confiance qui nous unissent, ne viennent pas de nous, mais de Dieu. Bien vite, les bandes de « copines » n’ont plus aucune importance, car nous échangeons avec celle que le hasard des rythmes de marche et des places dans les tentes met sur notre chemin. Chaque conversation est comme baignée de l’amour de Dieu, un avant goût de sa compassion infinie. La majesté des sommets, la paix du couvent qui nous accueille ensuite, sont aussi des signes de sa présence.
Alors, si c’est un aperçu du Royaume de Dieu, moi, je veux continuer la route. Comme je reprends ma valise et mon Grab de retour, vers ma famille imparfaite et mon quotidien imparfait, Donne moi Seigneur lorsque je passe le pas de ma porte, qu’il y ait un peu moins du vieil homme en moi, et un peu plus de toi.
Le Puissant, le père Bruno, et quatre organisatrices, firent pour nous des merveilles.
Saint est son nom!«
